Ce sont des drames évitables qui détruisent des familles et alimentent régulièrement la polémique : des patients morts aux urgences faute d’avoir été pris en charge à temps, d’autres parce que le SAMU n’a pas pu ou n’a pas jugé utile d’envoyer une ambulance.
Alors que le président de la République s’est engagé à désengorger tous les services d’urgence d’ici fin 2024, que le ministre de la Santé encourage désormais tous les Français à composer le 15 avant de se déplacer à l’hôpital, nous avons enquêté sur ces morts qui posent question.
Négligences, manque de moyens, absence de formation, surmenage, nous nous sommes procurés de nombreux documents confidentiels -rapports d’enquête, fiches d’alerte, enregistrements audio, courriers internes – qui pointent les défaillances du système.
Nous dévoilerons le témoignage exclusif d’un médecin qui a accepté de raconter comment certains décès, qui auraient dû être évités, ne sont pas déclarés comme tels aux familles et aux autorités ; celui de soignants qui étaient là le soir où une patiente a été retrouvée morte sur un brancard 12 heures après son admission aux urgences. Un drame qui vient de conduire à la mise en examen de l’AP-HP pour homicide involontaire.
Nous enquêterons sur les assistants de régulation médicale, un maillon essentiel de la chaîne d’urgence pourtant totalement inconnu du grand public : ce sont eux qui décrochent lorsque vous composez le 15 pour appeler le SAMU. Recrutés parfois sans aucune formation, épuisés, en sous-effectif chronique, ils racontent les erreurs lors de la prise en charge de certains appels, documents à l’appui, au risque de mettre la vie des patients en danger.
D’après un décompte de SAMU-Urgences de France, 43 morts « inattendues » ont été recensées dans 22 départements en décembre et janvier dernier, un chiffre qui atteindrait 150 dans toute la France selon eux.
Les pouvoirs publics sont-ils au courant de tous ces manquements ? Font-ils le nécessaire pour les éviter ? Complément d’enquête sur nos urgences au bord de l’implosion.
Depuis la vague d’attentats terroristes de 2015, le marché de la sécurité privée est en plein essor. La France n’a jamais compté autant d’agents. Ils sont 180 000. C’est plus que le nombre de fonctionnaires de police. Une révolution !
On les reconnaît à leur costume sombre à l’entrée de nos boutiques, de nos musées, des banques, des aéroports ou des supermarchés. Et ils sont souvent en première ligne contre les voleurs et les casseurs…
Mais qui sont ces vigiles ? Comment sont-ils formés ? Quels sont leurs vrais pouvoirs ?
Nous avons enquêté pendant plusieurs mois. Notamment en partageant leur formation, avec des exercices parfois spectaculaires. Mais vous allez le voir, le recrutement est régulièrement critiqué dans des rapports officiels. Et certains agents dérapent. Et une fois sur le terrain, parviennent-ils à détecter toutes les menaces ? Nous avons testé le contrôle à l’entrée de plusieurs lieux accueillant du public. Le résultat est plutôt étonnant !
Le secteur de la sécurité pèse 7 milliards d’Euros, alors pour gagner des parts de marché, certaines sociétés privées se livrent à une guerre des prix sans merci et ont parfois recours au travail au noir. Les inspecteurs de l’Urssaf traquent ce fléau qui gangrène toute la profession.
Enfin, vous allez découvrir de nouveaux agents de sécurité qui ressemblent à s’y méprendre à des policiers. Armes, uniformes, voitures siglées… Cette nouvelle force de l’ordre a-t-elle tous les atouts pour faire réellement respecter la sécurité ?
En 2020, un virus respiratoire inconnu commençait à se propager dans le monde entier… Suivant des scientifiques mobilisés pour tenter d’identifier l’origine du Sars-Cov-2, un état des lieux de l’avancée de leurs recherches.
En 2022, dans une zone forestière du nord de la Thaïlande, le virologue Meriadeg Le Gouil et le biologiste Pipat Soissok, en mission, collectent pour les analyser des spécimens d’une colonie de rhinolophes, ainsi que leurs déjections déposées dans une grotte. Menant l’enquête sur l’hypothèse d’une origine zoonotique de l’infection pulmonaire aiguë sévère qui a bouleversé nos vies, ils espèrent apprendre si ces chauves-souris, qui hébergent des virus proches du Sars-Cov-2, ont pu transmettre le virus à un animal hôte qui aurait à son tour infecté l’homme. L’autre hypothèse sur l’origine du Covid-19 qui intéresse la communauté scientifique est celle de l’échappement d’un laboratoire. En 2021, après des mois d’attente infructueuse, la Chine refusant d’être considérée comme responsable de la pandémie, une délégation d’experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) débarque enfin à Wuhan, d’où s’est propagé le virus. Emmenée par le professeur Peter Ben Embarek, spécialiste de la sécurité alimentaire et des zoonoses, elle visite l’ancien marché couvert, désormais fermé, où des animaux vivants étaient commercialisés, et l’Institut de virologie, bien qu’aucun spécialiste de la sécurité des laboratoires ne figure parmi ses membres.
D’une forêt de Thaïlande à Wuhan, en Chine, ce documentaire se met dans les pas de scientifiques mobilisés pour tenter d’identifier l’origine du Covid-19. Si l’hypothèse d’une transmission du virus d’une chauve-souris à l’homme, en passant ou non par un hôte intermédiaire, semble aujourd’hui la plus plausible, celle d’une fuite de laboratoire ne peut être totalement écartée. Nourri des éclairages d’experts (virologues, biologistes spécialistes des chauve-souris, épidémiologistes, membres de la mission de l’OMS à Wuhan, politologue), cet état des lieux de l’avancée des connaissances sur la naissance d’une maladie encore mystérieuse pointe la responsabilité humaine dans l’apparition du virus à travers la destruction des habitats naturels de la faune sauvage en Asie du Sud-Est, et la rivalité exacerbée par le président Trump entre les États-Unis et la Chine qui a entravé le travail des chercheurs.
Avec ses 2 km2, c’est le plus petit État du monde après le Vatican, mais aussi le plus densément peuplé.
Et dans ce micro-Etat de bord de mer, une règle prime depuis toujours : pas de vague !
A Monaco, on aime la discrétion, à l’image du Prince Albert II qui fuit les médias comme la peste.
Alors imaginez la surprise des 36 000 Monégasques, lorsque ce jour d’octobre 2021 ils voient apparaître un mystérieux site internet, les « Dossiers du Rocher », qui met en cause l’entourage direct du Prince. A la manœuvre, un mystérieux corbeau divulgue des centaines de documents confidentiels, pas tous authentifiés. Et il accuse dans des vidéos ces quatre très proches d’Albert II de clientélisme et de corruption, ce que les intéressés contestent formellement.
Le monde découvre à l’occasion que le Rocher est déchiré par une guerre feutrée qui oppose ce prétendu « G4 » au surpuissant promoteur Patrice Pastor, dont la fortune est évaluée à 20 milliards d’euros.
Au centre du conflit, l’immobilier : ici le mètre carré se négocie autour de 50 000€ en moyenne ! Si pendant longtemps le groupe Pastor a eu un quasi-monopole sur la construction, la bande des 4 serait bien décidée à lui barrer la route. Et le pointe du doigt : ce serait lui le corbeau ! Une accusation que le milliardaire réfute totalement dans un entretien qu’il nous a accordé en exclusivité.
Rare est la parole des proches d’Albert de Monaco, comme celle du milliardaire bâtisseur. Mais les deux clans ont accepté de répondre aux questions de Complément d’Enquête.
Que se passe-t-il dans les couloirs du Palais ?
Que démontrent vraiment ces documents ?
Qui se cache derrière cette « opération de déstabilisation », comme l’appelle le Prince ?
Complément d’Enquête au cœur d’une affaire qui fait vaciller le Rocher.
C’est un monde feutré, souvent bourgeois, où la parole se libère enfin : celui des chorales pour enfants. Ce reportage révèle plusieurs abus sexuels qui auraient été commis sur des jeunes chanteurs par des chefs de chœur, notamment au sein de la manécanterie des Moineaux du Val-de-Marne, en banlieue parisienne. Une enquête inédite, avec des témoignages rares et des archives qui montrent que l’un de ces chefs de chœur aurait pu sévir de chorale en chorale grâce au silence complice de plusieurs employeurs.
Il a imaginé la fraude du siècle : celle à la taxe carbone. Grégory Zaoui a été condamné à une peine de prison de 5 ans pour cette gigantesque escroquerie qui a engendré un préjudice de plus d’un milliard et demi d’euros pour le pays.
Libéré après plusieurs années passées à la prison de Fresnes, il commence aujourd’hui une nouvelle vie et monte sur les planches pour un seul en scène.
En plus de ses projets au théâtre, l’ex-arnaqueur a décidé de mener une croisade contre le business des influenceurs de la télé-réalité aux côtés de Booba.
« Aujourd’hui vous avez des chevaux qui ne sont jamais fatigués. Certains jockeys ont du mal à arrêter leur cheval après le poteau d’arrivée ». C’est un célèbre entraîneur français qui nous raconte cela, sous couvert d’anonymat.
En France, 220 000 chevaux participent chaque année à 18 000 courses sur lesquelles les Français parient 9 milliards d’euros ! Mais depuis peu, plusieurs affaires judiciaires éclaboussent le milieu : surperformance de chevaux, soupçon de dopage et de tricherie.
Complément d’Enquête a eu accès à des documents confidentiels, et a pu pénétrer le monde très huppé des courses hippiques.
Diffusé le jeudi 5 janvier 2023 à 23h00 dans Complément d’Enquête sur France 2
Une enquête réalisée par Julie Pichot pour StudioFact. En collaboration avec Le Parisien.
Entraîneurs, propriétaires, vétérinaires et policiers : tous racontent de l’intérieur un milieu où règne l’omerta… et parfois les coups bas.
Certains patrons d’écuries demandent à leurs jockeys de retenir leur monture pour arriver bon dernier de la course et faire ainsi grimper la cote du cheval pour les courses suivantes. Dans le jargon des tricheurs, on appelle cela « faire le tour ».
D’autres n’hésitent pas à injecter des produits dangereux dans les veines de leurs pur-sang. Et pour se procurer ces fioles de « poison », rien de plus simple : après quelques heures d’avion, Complément d’Enquête a pu acheter sans difficulté de quoi doper une cinquantaine de chevaux.
Que fait France Galop, la société-mère qui organise les courses, mais chapote aussi la lutte anti-triche ?
Complément d’Enquête vous fait voyager au pays du dopage, où à l’arrivée ce sont les parieurs qui sont floués.
Un tiers des femmes incarcérées dans le monde sont américaines. Elles sont aujourd’hui plus de 230 000. Ce chiffre a été multiplié par 7 en seulement 35 ans. C’est la catégorie de population carcérale qui progresse le plus rapidement aux États-Unis, alors que le nombre d’hommes en prison diminue. Quels sont les mécanismes qui conduisent tant de femmes derrière les barreaux ? Comment expliquer une si forte hausse ? Quid des conséquences sociales d’un tel phénomène ? L’incarcération de masse réduit-elle la criminalité ? A travers l’exemple de l’Oklahoma, État de tous les records, ce documentaire inédit, propose de décrypter les réalités qui se cachent derrière ces chiffres, tout en explorant les initiatives qui tentent de remédier à cette crise sans précédent.
Diffusé le samedi 12 novembre 2022 à 21h sur Public Sénat
Un documentaire de Brice Lambert
Une production StudioFact
Qui l’eût cru ? Dans une poignée de semaines, un pays grand comme la Corse va lancer sa Coupe du Monde en plein hiver, sous 30°C, dans des stades climatisés !
De mémoire de fan de foot, on n’avait jamais vu ça.
A l’aberration écologique s’ajoutent des accusations de corruption et d’atteintes graves aux droits de l’homme.
Mais malgré les appels au boycott, plus d’1 million de supporters sont attendus à Doha, 3 milliards devant leur téléviseur. Mais comment diable le Qatar a-t-il réussi son coup ?
Complément d’Enquête vous raconte comment Doha a ramené la Coupe à la maison grâce à sa meilleure amie… la France !
Diffusé le jeudi 13 octobre 2022 à 23h00 dans Complément d’Enquête sur France 2
Une enquête réalisée par Pierre-Stéphane Fort et Nicolas Bellot pour StudioFact
Retour au 2 décembre 2010 : à la surprise générale la FIFA annonce son choix, aux dépens des Etats-Unis, le grand favori.
C’est 9 jours plus tôt, à Paris, que le vote aurait basculé. A l’occasion d’un simple déjeuner à l’Elysée. Autour de la table, le président Sarkozy, le prince héritier du Qatar et Michel Platini.
Que s’est-il passé ce jour-là ? Pourquoi le puissant patron de l’UEFA, qui soutenait la candidature américaine, a-t-il changé d’avis ?
Complément d’Enquête sur ce repas qui ne passe pas.
Vente du PSG, contrats en or, corruption : y’aurait-il eu contrepartie ?
En collaboration avec la Cellule Investigation de Radio France, Complément Enquête s’appuie sur des documents exclusifs et des témoignages uniques pour décrypter ces liaisons dangereuses.
Quels liens étroits unissent encore aujourd’hui les deux pays ? Quel est le rôle exact des entreprises françaises dans ce Mondial qatari ?
Des chantiers de construction à l’hôtel des Bleus, Complément d’Enquête a réussi à s’infiltrer aux côtés des petites mains qui travaillent dans l’ombre. Révélations.
C’est l’histoire au long cours d’un dialogue chargé de malentendus entre la France et les États-Unis. En quelques années, une nouvelle vision de la société et des questions identitaires, initialement centrée sur la question raciale, a déferlé sur la France, égrenant un vocabulaire jusqu’alors inusité, qui contrarie les fondements et les principes mêmes de l’universalisme à la française. Le « privilège blanc », « l’intersectionnalité », la « cancel culture » ou l’adjectif « racisé » dessinent, particulièrement auprès des jeunes générations, un rapport nouveau à la différence, aux minorités, à la société.
Diffusé le lundi 10 octobre 2022 sur LCP à 20h30
Suivi d’un débat-doc
Un documentaire écrit et réalisé par Michaël Prazan
Une production StudioFact et LCP
D’où vient ce vocabulaire ? Que signifie le « wokisme » ? Comment a-t-il pris souche en France ? Pour le comprendre, il faut remonter aux années 60, revisiter une Amérique en pleine ébullition qui revendique l’égalité entre noirs et blancs, alors même que les campus américains découvrent le concept de « déconstruction » porté par les philosophes de la « french theory » – Foucault, Derrida, Deleuze, Bourdieu.
En quelques décennies, les concepts « woke » vont s’enraciner dans le camp progressiste d’une Amérique hantée par des siècles d’esclavage, de ségrégation et de discriminations. Via le soft power d’un impérialisme culturel qui passe tout autant par l’université que par la fiction et les réseaux sociaux, le wokisme, accusé par certains d’être un nouveau « séparatisme », nous revient aujourd’hui comme un boomerang.
Est-il une chance ? une menace ? la transposition malheureuse d’un modèle qui ne serait pas le nôtre ? A travers de nombreuses images d’archives, porté par la parole de prestigieux intervenants, analystes et grands témoins, ce documentaire s’emploie à sonder les origines et les conséquences de ce phénomène qui n’a, désormais, plus rien d’anodin.
Abus sexuels, manipulations mentales et détournements de fonds : le bouddhisme tibétain est secoué par de graves scandales. Un récit fouillé qui lève le voile sur les dessous peu spirituels d’une religion vénérée en Europe.
Diffusé le mardi 13 septembre à 22h35 sur ARTE
Un film de Elodie Emery et Wandrille Lanos
Une production StudioFact
Il s’appelle Ricardo Mendes et, très jeune, il a vécu l’enfer dans une communauté bouddhiste à Castellane, loin de l’idéal de sagesse prônée par son fondateur, Robert Spatz. Désormais en quête de justice et s’étant constitué partie civile dans un procès, Ricardo raconte comment le lama belge incitait ses disciples à lui abandonner leur progéniture, lui laissant le champ libre. Sévices corporels, privations de nourriture et de liberté ou viols subis par les filles furent le lot quotidien d’enfants sans protection. Ces abus ne relèvent pourtant pas de l’exception : depuis que le bouddhisme tibétain s’est imposé comme un phénomène de mode dans les années 1960, notamment en Europe, les scandales sexuels et financiers se multiplient, tandis que ses maîtres en exil prospèrent. Icône internationale, le dalaï-lama a lui-même longtemps couvert les agissements secrets de ceux qui servaient l’expansion de sa religion : avec une économie fondée sur la charité, celle-ci doit éviter les affaires trop tapageuses… Le lama Sogyal Rinpoché, à la tête d’un empire après la publication de son best-seller Le livre tibétain de la vie et de la mort, finit pourtant par être dénoncé par de nombreuses victimes pour son goût immodéré du luxe, son autoritarisme violent et ses dérives sexuelles. Il symbolise ainsi ce que le dalaï-lama nomme du bout des lèvres « les problèmes éthiques« …
« Les gens prennent le charisme pour une qualité spirituelle. » Grâce à ses révélations et à la qualité de ses intervenants, ce documentaire édifiant contribue à dessiller le regard occidental « fleur bleue » sur l’exotique bouddhisme tibétain. Il rappelle notamment que cette religion requiert une dévotion totale de l’élève, lequel doit certifier à son maître de garder le secret sur les initiations auxquelles il doit se soumettre : un terreau idéal pour couvrir d’une chape de silence les abus de toute nature. Les recherches menées par la journaliste Élodie Emery et le documentariste Wandrille Lanos affinent la perception de cette spiritualité qui se pare de tant de vertus, dont la pauvreté. Car le bouddhisme, véritable multinationale, se déploie avec ses têtes de gondole, ses produits dérivés (dont la méditation), ses filiales (les centres bouddhistes pour public aisé), ses stratégies de communication et agences spécialisées dans la gestion de crise. Fort de nombreux témoignages, dont des chercheurs et des adeptes abusé(e)s qui racontent l’envers du décor, ce récit fouillé lève le voile sur les impostures du bouddhisme, si prisé en Occident pour… sa quête de la paix intérieure.
Surpopulation carcérale, violence, trafics, surveillants en sous-effectif constant… Une de nos équipes a obtenu l’autorisation exceptionnelle de tourner le quotidien du centre pénitencier de Villepinte en Seine-Saint-Denis : plus de 800 détenus pour 560 places disponibles. C’est l’une des plus importantes maisons d’arrêt en Île-de-France.
Diffusion jeudi 23 juin à 21h10 sur France 2 dans Envoyé Spécial.
Un reportage de Marina Ladous, Etienne Huver et Eve Bartoli pour Slug News et StudioFact Media Group.
C’est une affaire complètement folle, qu’on pourrait croire issue de la série Le Bureau Des Légendes. Une histoire qui mêle des élus, des notables francs-maçons et des agents secrets.
Diffusé jeudi 5 mai à 23h dans Complément d’enquête sur France 2.
Une enquête de 52’ d’Eric Lehnisch et de Pierre-Louis Devais en partenariat avec Le Parisien
Pour la Brigade Criminelle, tout commence à Créteil un matin d’août 2020 avec l’arrestation de 2 agents de la DGSE armés, en planque dans une voiture volée. Ils sont soupçonnés d’avoir voulu éliminer une femme, Marie-Hélène Dini.
Pourquoi donc s’en prendre à cette mère de famille, coach en entreprise ?
Les deux militaires affirment être en mission pour le service « action » de la DGSE, mais en réalité ils sont au cœur d’un règlement de compte privé.
Le commanditaire semble être un chef d’entreprise qui aurait voulu éliminer une concurrente.
Lui et ses deux complices présumés sont francs-maçons, membres d’une petite loge des Hauts-de-Seine appelée Athanor, devenue, selon les enquêteurs, une glaçante officine du crime.
Les trois hommes sont soupçonnés d’avoir organisé et monnayé des « contrats » : surveillances, filatures, passages à tabac, et même meurtre.
Leurs cibles ? Un syndicaliste gênant, un opposant politique congolais en exil ou un pilote de course endetté.
Pour cela, ils avaient recruté leurs hommes de main, en leur expliquant qu’ils « travaillaient » en sous-main pour l’Etat et les intérêts français.
Quinze personnes sont aujourd’hui mises en examen.
Grâce à des documents inédits et des témoignages rares, Complément d’Enquête vous raconte cette affaire tentaculaire, qui mène désormais les policiers sur la piste de plusieurs affaires non élucidées.
Tessae a tout juste 20 ans, elle est chanteuse et est devenue depuis quelques semaines la voix des ados victimes de harcèlement.
Diffusé le 27 mars 2022 à 17h25 dans 66 minutes sur M6
Une production StudioFact Media Group
Réalisation : Yasmine Oughlis et Naomi Moschini
Rédaction en chef : Geraldine Bévière
Harcelée dès le collège à Marseille elle développe progressivement une phobie scolaire, et un trouble d’anxiété généralisé. Mais c’est grâce à la musique qu’elle parvient à sortir la tête de l’eau. Repérée par Booba en 2019 elle devient en quelques mois un phénomène grâce au réseau social Tiktok ou son titre est partagé plus de 300.000 fois…Aujourd’hui elle sort un livre «Frôler les murs » (JC Lattès) qui raconte son histoire, sans détour, et fait exploser le tabou de la santé mentale chez les jeunes, pour briser le silence, la honte et l’isolement.
Depuis quelques semaines Tessae va à la rencontre des ados en milieu scolaire pour les sensibiliser.
Valentin souffre lui aussi de phobie scolaire. Depuis sa chambre de Chamonix dans laquelle il vit cloitré, le jeune homme a découvert Tessae. Ses textes le motivent chaque jour à tenter de sortir de son isolement. Même si pour le moment ses seuls contacts avec le monde extérieur sont ses parents.
Chez StudioFact, le réel se décline sous toutes ses formes.
« Le mystère Jubillar », le livre-enquête de Ronan Folgoas chez StudioFact Editions est sorti en librairie le 17 mars, veille de la diffusion sur RMC Story du documentaire sur l’affaire signé Gregory Héraud et Xavier Beneroso.
1/ Le mystère Jubillar de Ronan Folgoas, sorti le 17 mars 2022 chez StudioFact Editions
La presse en parle : téléchargez le dossier ici.
Acheter le livre ICI.
2/ Enquête sur le mystère Jubillar diffusé le 18 mai à 21h05 sur RMC Story
Un film de Gregory Héraud et Xavier Beneroso
Une production StudioFact Media Group
Achetez-le ICI
C’est l’histoire d’une femme disparue. D’un possible crime.
C’est l’histoire d’un couple à l’agonie, d’un homme objet de toutes les suspicions, et d’une vérité qui tarde à se faire jour.
C’est un drame humain aussi banal que totalement unique.
Cela aurait pu n’être qu’un fait divers de plus, mais le mystère Jubillar dépasse tout.
Peu de journalistes connaissent aussi bien les ressorts de l’affaire Jubillar que Ronan Folgoas. Grand reporter au service Police-Justice du journal Le Parisien, il a mené pendant plus d’un an une enquête de terrain très fouillée, étayée par des documents judiciaires inédits et des dizaines de témoignages exclusifs. Il est le seul journaliste à avoir côtoyé les principaux protagonistes de l’affaire, à commencer par Cédric Jubillar lui-même, et l’amant de Delphine, l’homme avec lequel elle voulait refaire sa vie.
Raconter le réel : plus qu’une tagline, une mission.
Les reporters de StudioFact sont partis sur le terrain pour vous informer sur la guerre qui sévit en Ukraine.
Trois premiers reportages ont déjà été diffusés.
Diffusés les samedis 5, 12 et 19 mars 2022 dans ARTE Reportage à 18h45 sur ARTE
Des reportages de Gwenlaouen Le Gouil, Christophe Barreyre et Brice Lambert
1 – « Ukraine : la résistance s’organise »
2 – « Ukraine : la guerre des religieux »
3 – « Ukraine : ceux qui restent »
À l’occasion de la campagne Présidentielle de 2022, « Jeunesse Militante » aborde la campagne des jeunes, racontée par des jeunes.
Alors que la campagne bat son plein, pendant des semaines, nous avons suivi 8 jeunes militants, répartis dans toute la France. Chacun ses idées, chacun son candidat, et surtout, chacun son histoire.
Diffusé le 14 mars 2022 à 20h30 sur LCP
Un film réalisé et écrit par Samuel Elfassy de Studiofact Lab
Une production StudioFact Lab en partenariat avec ESJ Lille pour LCP et Le Parisien
Selon un récent sondage de l’IPSOS, 9 jeunes sur 10 auraient l’intention d’aller voter aux prochaines présidentielles. Un vivier d’électeurs qui pourrait bien faire basculer la présidentielle. L’enjeu de chaque parti est donc d’en rallier le maximum à sa cause.
Pour cela, ils peuvent compter sur la ferveur de leurs représentants sur le terrain : les jeunes militants.
De l’extrême droite à l’extrême gauche, cette jeunesse n’hésite pas à déployer tous les efforts pour faire vivre les idées de ses candidats. Du tractage au collage, en passant par le porte-à-porte, en se servant des réseaux sociaux, l’objectif de ces jeunes est d’être partout, tout le temps.
Alors que la campagne bat son plein, pendant des semaines, nous avons suivi 8 d’entre eux, répartis dans toute la France. Chacun ses idées, chacun son candidat, et surtout, chacun son histoire.
Tous ont en effet vécu un évènement majeur qui a forgé leur engagement et leurs convictions politiques. Un passé qui détermine aujourd’hui leur avenir.
Quoiqu’il en coûte, quitte à sacrifier leur temps libre, leurs études, et même à parfois se mettre en danger. Ils sont prêts à tout pour faire triompher leurs idées et leur candidat.
Le 24 avril 2022, parmi les prétendants à l’Élysée, il n’en restera qu’un. Et chacun de ces jeunes militants espèrent que ce sera le sien.
Chaman autoproclamé, Cyrille Adam organisait depuis plus de 30 ans des stages de développement personnel axés sur la spiritualité. Mais en décembre dernier, il a été mis en examen et incarcéré. L’ancien gourou est accusé de viols, d’agressions sexuelles et d’abus de faiblesse par six de ses anciens et anciennes adaptes.
Diffusé le dimanche 20 février à 17h20 dans 66 minutes sur M6
Présenté par Xavier de Moulins.
Une production Studiofact Media Group en partenariat avec Le Parisien.
Un reportage écrit par Rabah Aït Hamadouche & Vincent Gautronneau.
Il menait grand train dans son splendide château de Granès ou bien au volant de ses voitures de luxe. Lui qui disait être en lien direct avec le chef indien Sitting Bull, avait développé au fil des ans une méthode chamanique pour renouer avec son « animal totem ».
Un appât tout trouvé pour les fans de new Age en quête de sens. Le septuagénaire autoproclamé chaman, guide depuis presque 30 ans ses fidèles vers les voies ésotériques.
Problème ; Cyrille A. a multiplié parmi eux les conquêtes sexuelles et, voilà plus d’un an, un collectif d’anciens disciples s’est constitué pour dénoncer des abus liés à son emprise de « gourou ». La Mivilude (Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires) a été saisi puis le parquet de Nîmes pour des plaintes pénales.
« Loup blanc », qui a donc été mis en en examen pour « viols », « agressions sexuelles » et « abus de faiblesse par suggestion » évoque lui des relations consenties. Cyrille Adam dort désormais derrière les barreaux depuis début décembre. Sa demande de remise en liberté pour raison de santé a été rejetée par la cour d’appel de Nîmes.
Présumé innocent, l’enquête s’avère longue, d’autant qu’aux agressions sexuelles, des malversations financières seraient étudiées, notamment en étudiant son train de vie, incompatible avec un chaman.
Nous enquêterons sur place dans le village de Granes où la réputation sulfureuse du loup blanc n’est plus à faire. Nous tournerons là-bas en caméra cachée un stage en immersion – car ils ont encore lieu en son absence – pour montrer ses méthodes particulières.
Nous recueillerons la parole de plaignants, abusés et désabusés, par le vieil homme, d’anciens disciples ayant quitté cette spirale infernale mais aussi des avocats et procureurs.
Nous irons interroger des spécialistes du chamanisme et du phénomène sectaire mais aussi le réalisateur d’un documentaire sur Loup Blanc et des journalistes locaux ayant couvert l’affaire.
Au début des années 80, les Etats-Unis comptaient moins de 25 000 femmes derrière les barreaux. 40 ans plus tard, elles sont plus de 230 000. Le nombre de femmes détenues a littéralement explosé, progressant deux fois plus rapidement que le nombre d’hommes incarcérés.
Quels sont les mécanismes qui conduisent tant de femmes en prison ? Comment expliquer une si forte hausse ? Quid des conséquences sociales d’un tel phénomène ?
Cagoulé, ligoté sur une cible en plein milieu d’un champ de tir, lors d’un exercice à balles réelles des avions de chasse de son tout nouvel escadron : voici l’incroyable bizutage subi par un jeune pilote de l’armée de l’air en 2019. Pour la première fois, Antoine, la victime de ce simulacre d’exécution, brise la loi du silence et accepte de témoigner à visage découvert pour « Complément d’enquête ». Il raconte la violence et le sentiment d’impunité qui régneraient dans le petit monde des pilotes de chasse.
Diffusé le jeudi 6 janvier 2022 à 23h dans Complément d’enquête sur France 2.
Présenté par Tristan Waleckx
Une enquête de Pierre-Stéphane Fort et Mikaël Bozo.
Une production StudioFact Media Group.
Alors qu’à longueur de déclarations, le ministère des Armées prône l’exemplarité et la tolérance zéro, le magazine s’est procuré des dizaines de documents inédits qui contredisent la version officielle. Insultes, harcèlement, traitements dégradants, coups…
Pendant des mois, de nombreux militaires ont été contactés, témoins ou victimes, pilotes, mécaniciens ou officiers de renseignement : ils dénoncent des faits d’une extrême gravité et déplorent l’absence de réaction des plus hautes instances de l’armée, voire l’omerta qui régnerait dans ses rangs.
Que se passe-t-il dans l’armée de l’air ? Pourquoi sur la base de Nancy-Ochey, la plus décriée, six militaires ont-ils porté plainte pour des faits de violences physiques, de harcèlement moral et sexuel ces dernières années ? L’armée sanctionne-t-elle vraiment les comportements déviants ? « Complément d’enquête » révèle la face sombre d’un univers aussi fascinant qu’inquiétant, celui des pilotes de chasse.
Depuis 2015, une guerre meurtrière déchire le Yémen. Situé à l’extrémité de la péninsule d’Arabie, cet ex-territoire du royaume de Saba, berceau de la civilisation et considéré comme l’un des plus beaux pays du monde, voit s’affronter des rebelles yéménites chiites Houtis et une coalition de pays arabes menée par l’Arabie Saoudite. Déjà plus de 10.000 tués, 60.000 blessés et 3,5 millions de déplacés pour une guerre qui se déroule loin des regards, et qui a entraîné une terrible famine.
Diffusé le dimanche 5 décembre 2021 à 23:10 dans Enquête exclusive sur M6
Un documentaire de Guillaume Dasquié et Nicolas Jaillard
Une production StudioFact Media Group
Dans les combats pour la Terre, dès qu’un feu est éteint, un autre s’allume. Et si la Loi pouvait sauver l’humanité ?
Un documentaire sur les droits de la nature et la justice climatique, comme leviers pour mieux protéger la planète.
Comment l’enfant abusée du chef-d’œuvre au noir de Nabokov s’est-elle transformée en icône érotique dans l’imaginaire collectif? Généalogie d’un contresens nourri de scandale et de gloire, au plus près du roman et de son histoire.
Manuscrit brûlé, rejeté, publié, censuré, réédité puis encensé, avant de trouver place parmi les chefs-d’œuvre universels, Lolita devra à son sulfureux sujet autant qu’à sa puissance littéraire une part de sa gloire. Celle-ci n’a fait qu’amplifier la méprise, malgré les mises au point mi-irritées, mi-résignées de Vladimir Nabokov – entre autres sur le plateau d’Apostrophes en 1975, deux ans avant sa mort, face à un Bernard Pivot malencontreusement égrillard, qui illustre l’ampleur du décalage. Avec d’autres archives rares de l’écrivain, et les éclairages de son biographe, Brian Boyd, de deux de ses traducteurs (Maurice Couturier pour le français, Tadashi Wakashima pour le japonais), ainsi que d’autres fervents lecteurs et exégètes, dont Vanessa Springora, l’auteure du Consentement (Grasset, 2020), Olivia Mokiejewski rend hommage à la stupéfiante modernité de Lolita, qui, près de soixante-dix ans après sa parution, nous confronte à une vérité humaine que beaucoup se refusent encore à voir.
Jérôme Pierrat, journaliste d’investigation et spécialiste du crime organisé, s’est infiltré au cœur des quartiers sensibles marseillais où violences et trafics de drogues ne cessent d’augmenter depuis des décennies. Du simple « petit » trafiquant jusqu’aux tueurs à gages, sans oublier les experts, policiers et magistrats qui tentent d’endiguer l’explosion de ces business illégaux, découvrez à travers les interviews exclusives, leurs témoignages.
C’est sur ces terres marseillaises que Jérôme Pierrat, journaliste d’investigation et grand spécialiste du crime organisé, s’est rendu à l’occasion de ce film exceptionnel. « Génération Kalach : la face cachée des cités » est une plongée édifiante dans ce que le « Milieu » a de plus noir, de plus terrifant. Au-delà des trafics, de l’argent, du fantasme de « la belle vie », il existe une réalité qui régit ce monde, la face la plus sombre d’un univers déjà opaque, son extrême violence. Et c’est d’ailleurs la seule règle. La criminalité est une jungle dans laquelle règne la loi du plus fort.
La nouvelle génération des voyous, les « narco-bandits », issue des quartiers sensibles ont imposé de nouvelles méthodes radicales tout en affichant une détermination sans faille. Les rafales de Kalachnikovs sont devenues la signature, la norme, pour régler les problèmes et les jeunes trafiquants tombent sous les balles. On meurt de plus en plus jeune, de plus en plus violemment, pour des raisons de plus en plus futiles.
Quand l’alerte a été diffusée, qui pouvait imaginer que les ravisseurs présumés de la petite Mia pouvaient avoir agi pour des motivations politiques ? Les premiers éléments de l’enquête le laissent penser : l’enlèvement de la fillette serait un acte de défiance vis-à-vis de l’Etat et des autorités françaises, la traduction dans les actes de théories conspirationnistes chaque jour plus populaires dans la nébuleuse de l’ultra-droite.
Un reportage de Stéphane Munka et Jean-Michel Décugis pour Complément d’enquête sur France 2.
Diffusé le 29 avril 2021
En exclusivité, notre équipe a pu rencontrer l’un des hommes mis en examen dans cette affaire et interroger celui qui est suspecté d’en être l’organisateur. Depuis la Malaisie où il est visé par un mandat d’arrêt international, Rémy Daillet a accepté de répondre aux questions de « Complément d’enquête ». Jusqu’où est-il prêt à aller pour atteindre son objectif de « renversement du gouvernement français » ?
Depuis 2017, policiers et gendarmes auraient déjoué au moins cinq projets d’attentats liés à cette mouvance. Grâce à des documents et des témoignages inédits, révélations sur l’affaire AFO, une organisation démantelée avant d’avoir pu mener ses projets d’attentats. Parmi eux, d’anciens policiers ou des militaires en retraite décidés à lutter contre ce qu’ils appellent « le péril islamique ».
Adopté en 1876, l’Indian Act avait pour but de faire des membres communautés des Premières Nations des citoyens de seconde zone séparés de la population blanche. Et de sédentariser un peuple nomade pour mieux contrôler ses territoires et ses ressources. Des générations de filles et de garçons furent arrachées à leurs parents et placés dans des «pensionnats autochtones», dont le dernier n’a fermé ses portes qu’en 1996. Le réalisateur revient sur les traumatismes causés par cette politique d’acculturation menée par les autorités et encore taboue au Canada.
Un documentaire de Gwenlaouen Le Gouil pour Arte.
Diffusé le 13 avril 2021
Doublement récompensé au FIGRA : Le Prix Spécial Du Jury et le Prix Arnaud Hamelin Satev-Figra
A travers le combat pour la justice d’une poignée d’Autochtones en colère, ce film est une enquête sur l’origine des traumatismes qui hantent les Premières Nations du Canada. Jusqu’en 1996, l’Eglise et le gouvernement ont tenté de faire des enfants amérindiens de « bons petits chrétiens », de les « civiliser » en les enfermant dans les tristement célèbres pensionnats autochtones. Des générations d’enfants ont ainsi été arrachées à leurs parents et victimes durant toute leur enfance d’abus, notamment sexuels, de la part de religieux qui étaient censés les éduquer. Quatre-mille enfants y sont morts. L’alcoolisme, la toxicomanie, les féminicides et les vagues de suicides qui frappent les communautés autochtones aujourd’hui sont la conséquence directe des atrocités subies au sein de ces écoles.
Ce road-movie documentaire nous mène des réserves et des terres glacées du nord de l’Ontario aux faubourgs de Thunder Bay, la « capitale du crime » au Canada, fatale à tant de femmes autochtones. À Ottawa, nous avons rencontré un député qui défend la cause autochtone au parlement, aux côtés d’une poignée de « survivants » des pensionnats qui se battent contre le gouvernement canadien pour obtenir justice et retrouver leur dignité.
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